- REQUIEM ON WATER.
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Oyez, oyez braves gens ! A l'approche de la St Valentin, Marni Hawkins et Trent Jacobs, les membres du mois (clap clap !) ont choisi une chanson d'amour, une chanson douce, que vous pouvez retrouver sur la page d'accueil. Dans ce même thème, un nouveau design, une belle intrigue et différents défis et jeux ont été mis en place. Des scénarios attendants toujours des preneurs ! Aussi, le sujet des recherches de topics est à votre disposition. N'hésitez pas à en faire usage.
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 hanging by a moment. (r)

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AuteurMessage
Jace Hawkins
+ I CAN'T BE FIXED
Jace Hawkins


- MESSAGES : 1704
- INSCRIPTION : 11/12/2012
- PSEUDO : Rubikscube/Marie
- OCCUPATION : Architecte, en congé sabbatique / Professeur de surf.
- STATUT CIVIL : Fraichement célibataire.
- PRIORITÉS : Trouver de nouveau un sens à ma vie, finir le lait avant la date de péremption, faire développé la pellicule de l'argentique, perdre les habitudes de mon ancienne vie, changer la tasse brisée de Marni (sa porte bonheur) avait qu'elle s'en rend compte, ignorer ses appels, trouver une histoire en béton.
- AVATAR : Stephen Amell

❝ A DROP IN THE OCEAN ❞
- DISPONIBILITÉ: NOPE. (Nola + Marni/Eve + TC w/Corale + Laurel + Maxence.)
- ÂGE: Vingt-six ans.
- CARNET D'ADRESSE:

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MessageSujet: hanging by a moment. (r)   hanging by a moment. (r) EmptyDim 6 Jan - 3:58

Citation :

~ lets sleep in, turn back the clocks. leave all the past behind you. i'm beside you. asleep I see who you are. and if its a dream dont wake me. help me make these memories. take all of you, take all of me. and that's all we need. ~
memories (all we need) @the sequel
Ce matin-là, après être rentré de la plage en sueur sous la combinaison de surf le jeune homme se traîna jusque sous la douche. L'eau glacée qui coulait le long de son corps lui saisissait chaque muscle. Heureusement que Nola n'habitait pas ici avec lui, la jeune femme tellement frileuse qu'elle est ne pourrait pas supporter l'absence d'eau chaude. En effet, depuis son arrivée, Jace a investi dans cette maison neuve jamais habité. La première fois qu'il a vue cette bâtisse, il n'a pas pu s'empêcher d'imaginer chaque recoin dessiné sur un plan de son esprit. Déformation professionnelle que voulez-vous. Ayant toujours rêvé de construire une demeure à son image, il a passé des soirées entières d'insomnie à peaufiné les détails des changements à apporter. Bien sûr, n'étant bricoleur qu'à un certain degré il a fait appel à des professionnels pour la qualité du travail et la rapidité. En quelques mois, celle-ci ressemble déjà de plus en plus à ce qu'il désire. Petit à petit il transporte de l'âme à cette maison. Le problème de l'eau chaude restant toujours à régler. Bien que maintenant, il s'y est fait. Le point positif avec les douches froides, nous n'y passons pas des heures entières. Ensuite, Jace harponna son plus beau costume. Par habitude. Le jeune homme n'aime pas tout particulièrement porter des costumes, ce n'est pas la tenue la plus confortable qu'il soit. Avec son ancien travail, il y était pratiquement obligé. Décidément il devait perdre ces manies. Troquant son sublime costume pour une tenue plus sombre, plus passe partout. Il allait trouver un avocat, pas comparaitre devant un tribunal. Encore que par la suite ce rendez-vous nous mènerait peut-être devant le juge si l'affaire s'avère plus ardu que prévu. Il ne demandait pas la lune, juste récupérer ce qui lui revient de droit, ces plans, son travail qui lui revenait de droit. Il y avait aussi Nola, aussi têtue qu'une mule. Qui ne cessait de renvoyer les papiers du bail qu'il voulait lui céder. Il l'avait blessé et elle ne voulait pas accepter une faveur de sa part. Madame Hawkins avait conseillé un avocat à son fils depuis un moment maintenant. Cela faisait plusieurs semaines qu'il faisait trainer les choses. Il devrait prendre les choses en main dès maintenant. Il se dirigea donc en ville. Arrivé devant le commissariat, ce grand bâtiment sinistre et peu accueillant. Jace ne pouvait s'empêcher d'avoir un sens critique et observateur pour les bâtisses. On peut dire que son travail lui manquait, pour la simple raison qu'il aimait sa spécialité. Plus jeune il n'était doué que pour une chose hormis le surf, c'était bien dessiner des plans, imaginer des demeures atypiques et retranscrite sur papier. Une fois à l'intérieur du poste de police, toujours la même remarque. Les bureaux étaient collés les uns contre les autres. On aurait dit un champ avec des animaux agglutiné côte à côte. Le jeune homme se dirigea vers l'accueil ou un jeune homme, un stagiaire à première vu, lui demanda : « Puis-je vous aider Monsieur ? » Jace visiblement déconcerté par l'assurance de celui-ci répliqua calmement. « En effet, je cherche le bureau d'un avocat, ... » Sa mère lui avait pourtant répété plusieurs fois son nom. « L'avocat Montgomery ? » Le jeune stagiaire lui indiqua une énorme porte, style porte de secours dans les hôpitaux. « Merci. » Passé la porte, un couloir s'offrait à Jace. Un long et étroit couloir. Des portes, à gauche, des portes à droite, des portes sur des kilomètres, encore des portes. On pouvait lire sur les traits du jeune homme une expression d'un enfant égaré. Soudain une jeune femme rousse et à fière allure déboula de l'une des portes et se dirigea en sa direction, du moins vers la sortie dont Jace venait d'arriver. Il l'intercepta. « Veuillez m'excuser mademoiselle, je cherche le bureau de Monsieur Montgomery, pourrirez vous me dire où il se trouve ? » Elle se mit à sourire à pleine bouche. Elle le salua et ajouta quelque chose que Jace ne comprit pas. Surement un humour d'avocat. Si Jace était plus perspicace à propos des femmes il aurait compris à la façon qu'elle avait de rouler les r, de se dandiner mais aussi de pauser la main sur l'épaule du jeune homme qu'elle lui faisait de toute évidence du rentre dedans. Ce ne fut pas le cas, monsieur voit ce qu'il veut bien voir. Ne le voyant pas répondre à ses avances elle lui indiqua la troisième porte à droite plus froidement qu'avant ça. « Ce n'est pas Monsieur Montgomery, mais Madame. » Elle repartit à toute allure, le bruit de ses talons résonnait dans le corridor. Ne laissait pas le temps au jeune homme de la remercier. Parvenu et posté devant la porte entrouverte il se souvenu de ce que la rousse avait fait remarquer juste avant. Mais il n'eu pas le temps de soulever sa main pour frapper que la porte s'ouvra entièrement en fracas devant lui. Laissant distinguer la personne derrière celle-ci, c'était une jeune femme d'à peu près son âge. Assurément aussi surprise que lui. Elle portait un tailleur, perché sur des talons, très élégante mais assez naturelle. Naturellement jolie. Il se senti tout d'un coup ridicule. Peut être aurait t'il du opter pour le costar tout compte fait. « Mademoiselle ..., je veux dire Madame Montgomery ? ». Il se mit à sourire et son appréhension se dissipa.
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